La réalité par ses ondes s'imprime dans l'espace sans fin. Faire de l'espace une matière et y insérer cette présence qui de ses ondes modèle les parois. Là, dans l'ouvert qui nous appelle, les mains retrouvent le temps des caresses, les parcours qui nous emmènent au-delà du fermé. Le temps de l'histoire effacé, les années-lumière comme seul repère. Ton corps y était saillie de terre, Motte au milieu des ondes. Au milieu de tous les corps. Moi au milieu de tous les mondes. Février 1999 Michel Mazé